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Articles variés

 

 

27 - 06 - 16 par Weirda

A l’heure ou Laurent Mottron sort son nouveau livre, j’ai eu envie, avant de le commencer, de relire le premier, que je n’avais pas bien lu, plus par passages, la première fois.

L’ensemble du livre est très intéressant. Toutefois, certains passages m’ont sauté aux yeux et sont intéressants, je pense, à mettre en regard avec ce que l’on peut voir de part et d’autres, sur des groupes de personnes autistes, sur des blogs etc.

 

L’autisme est encore mal connu. Bien sur, les progrès dans sa compréhension depuis ces dernières décennies sont immenses. L’autisme est assez loin de la vision stéréotypée qui prédomine encore dans l’esprit des tout-venant voire des professionnels : l’idiot qui ne cesse de se balancer et se tape la tête contre les murs, ou, la même image version savant. Mais sous le spectre de l’autisme est rassemblée une grande diversité de personnes, plus ou moins atteintes, plus ou moins handicapées par leurs spécificités. 

16-10-15 par Weirda

Dans le cadre d'un travail universitaire en psychologie clinique, je me suis intéressée à la sélectivité alimentaire chez les enfants porteurs de TSA. Cette problématique pouvant intéresser quelques personnes, je vous partage ici le fruit de mon travail. Il s'agit de s'interroger aux manifestations, à l'étiologie et à la prise en charge de la sélectivité alimentaire chez un enfant autiste.

02/09/2015

Suite de mes recommandations destinées aux NT :

-quand on ne peut pas on ne peut pas inutile de nous forcer

-quand on fait quelque chose d’incorrect : essayer de nous expliquer calmement ça marche très souvent

-la communication est la base pour une bonne relation

-aider c’est tenter de comprendre, de changer en fonction des situations, d’apporter un soutien efficace si nécessaire, on peut faire des erreurs le tout c’est d’essayer de se rattraper et d’avancer

 

 

 

18-07-15 par Weirda

Dernièrement, quelques articles ont donné lieu à des polémiques, notament celui de Super Pépette ou celui de Pourquoi t'es grosse madame? . Je crois que ces polémiques sont souvent liées à de mauvaises interprétations, à des incompréhensions. Dans cet article, je reprends quelques uns de ces points de polémique et d'autres idées, dans un but d'éclaircissement et d'apaisement... J'espère que je n'aurais pas trop mal formulé les choses et que ceci ne déclenchera pas à nouveau une nouvelle guerre facebookienne... 

18-04-15 par Valery

 

la vie, en parler, c'est une banalité affligeante ! en dire "la vie est géniale ou est douloureuse" pfffNon la question serait plus celle de l'existence, comment exister et habiter notre monde, le rapport à soi et avec les autres :

 

Je n'ai pas peur de la solitude, je peux passer une semaine sans rencontrer personne sans ce que cela ne me pose problème. Je ne suis pas addict des jeux sociaux et apprécie très moyennement les mondanités.

 

 

10-02-15 par Valéry

On a une perception éclatée:Les cinq sens sont dissociés, ce qui nous oblige à les lier en permanence au travers d'images et de patterns (tels sons, tel objet, tel environnement).

Ce calcul permanent nous donne une fatigue extrême en fin de journée quand on la passe dans des environnements de foules, de bruits etc ...

Et d'un autre côté cela nous donne des vertus synesthésiques: j'entend les couleurs, je vois les notes, je peux convertir les sons en couleurs et inversement.

27-12-14 par Weirda

On entend souvent parler de Kanner mais peu de personnes savent quels ont vraiment été ses travaux.

Léo Kanner a décrit l'autisme (et donné cette appellation) pour la première fois en 1943, de manière concomitante Hans Asperger.

Son écrit est très précis et d'une grande richesse ; il décrit 11 enfants (dont 3 filles) avec des profils autistiques très variables (allant jusqu'à ce que l'on nommerait aujourd'hui « syndrome d'asperger ») et qui ont eu des évolutions très variables également : si certains sont restés non verbaux, voire ont régressé (généralement ceux qui ont été placés en hôpitaux, et Kanner avait déjà relevé cela...), d'autres ont pu s'intégrer à la société, avoir un emploi stable (ceux qui ont généralement eu un environnement riche et stimulant). Par ailleurs, Kanner décrit aussi quelques parents des enfants, au travers desquels nous pouvons percevoir parfois des traits autistiques flagrants. Enfin, s'il parle bien d'un éventuel rôle de l'attitude parentale, il balaye aussi rapidement cette idée qu'il ne l'évoque et semble pencher dès le départ par le caractère inné de l'autisme. (Dans son écrit de 1971, il ne parle d'ailleurs plus que des pistes biochimiques et génétiques de l'autisme).

 

7 - 11- 14 par Weirda

Chaque jour a son lot de richesses mais il y a des jours qui ressemblent relativement aux autres.

D'autres, à l'inverse sont spéciaux.

 

Aujourd'hui, j'ai passée une journée particulière, parce qu'aujourd'hui, j'ai été invitée à l'ONU pour parler des femmes autistes.

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